L'une des actions de l'association "R.E.S.GEND" est de valoriser l'action de la gendarmerie.C'est pourquoi nous relatons régulièrement des faits montrant le danger qui peut surgir lors de missions apparemment simples .En voici un exemple de plus :
Deux gendarmes ont été agressés, mercredi, à Calanhel. Hier, le tribunal a condamné les deux agresseurs, un jeune agriculteur et sa mère, à de la prison ferme.
« Je n’ai pas tapé les gendarmes. Je ne les ai pas insultés », réfute en bloc Adrianus Jacobus B……, 31 ans, domicilié à Calanhel. Hier après-midi, dans le cadre d’une comparution immédiate, il n’a pas reconnu les violences subies par deux gendarmes dans une ferme.
Mercredi matin, deux gendarmes de la brigade de Callac frappent à sa porte. Ils viennent remettre une convocation à son père, qui a refusé de se présenter à la brigade. Adriana S……, 65 ans, la mère d’Adrianus Jacobus B……, se mêle à la discussion. Après avoir insulté les gendarmes qui étaient sur le départ, le prévenu donne un coup de pied à un gendarme. La visite dégénère.
Le fils s’empare alors d’une paire de menottes et frappe un gendarme au visage. Il va également réussir à frapper l’un des gendarmes avec son bâton de sécurité. La mère distribue aussi les coups. Le fils réussit à s’enfuir dans un hangar. Les gendarmes préfèrent revenir à la brigade où ils sont vus par un médecin, qui constate les blessures. Les versions diffèrent. Pour Adrianus Jacobus B…… , ce sont les gendarmes qui l’auraient bousculé en voulant récupérer des photos en sa possession et l’auraient projeté à terre. Sa mère aurait voulu seulement le protéger. Ce scénario n’a pas convaincu le tribunal. Adrianus Jacobus B…… a été condamné à 18 mois de prison dont 12 mois avec sursis. Sa mère a été condamnée à 6 mois de prison dont 5 avec sursis. Ils devront également payer 1.500 € de dommages et intérêts à chacun des gendarmes. Le tribunal a prononcé sa décision devant une quinzaine de gendarmes, qui étaient venus par solidarité au tribunal.
« Je n’ai pas tapé les gendarmes. Je ne les ai pas insultés », réfute en bloc Adrianus Jacobus B……, 31 ans, domicilié à Calanhel. Hier après-midi, dans le cadre d’une comparution immédiate, il n’a pas reconnu les violences subies par deux gendarmes dans une ferme.
Mercredi matin, deux gendarmes de la brigade de Callac frappent à sa porte. Ils viennent remettre une convocation à son père, qui a refusé de se présenter à la brigade. Adriana S……, 65 ans, la mère d’Adrianus Jacobus B……, se mêle à la discussion. Après avoir insulté les gendarmes qui étaient sur le départ, le prévenu donne un coup de pied à un gendarme. La visite dégénère.
Le fils s’empare alors d’une paire de menottes et frappe un gendarme au visage. Il va également réussir à frapper l’un des gendarmes avec son bâton de sécurité. La mère distribue aussi les coups. Le fils réussit à s’enfuir dans un hangar. Les gendarmes préfèrent revenir à la brigade où ils sont vus par un médecin, qui constate les blessures. Les versions diffèrent. Pour Adrianus Jacobus B…… , ce sont les gendarmes qui l’auraient bousculé en voulant récupérer des photos en sa possession et l’auraient projeté à terre. Sa mère aurait voulu seulement le protéger. Ce scénario n’a pas convaincu le tribunal. Adrianus Jacobus B…… a été condamné à 18 mois de prison dont 12 mois avec sursis. Sa mère a été condamnée à 6 mois de prison dont 5 avec sursis. Ils devront également payer 1.500 € de dommages et intérêts à chacun des gendarmes. Le tribunal a prononcé sa décision devant une quinzaine de gendarmes, qui étaient venus par solidarité au tribunal.
(Source : Le "télégramme des cotes d'Armor").
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