Depuis plusieurs mois les gendarmes de la Brigade de recherches 
(B.R.) de NICE (Alpes-Maritimes) enquêtent sur des individus ayant proposé sur le marché libre Euronext (1) des actions fictives d'une société « ATI PETROLEUM ». Les titres, émis au début du mois de juillet 2007, laissent faussement espérer des gains rapides aux nouveaux actionnaires. Le 30 juillet 2007, la cotation est suspendue en raison d'un montage financier non conforme. Les fonds obtenus d'un montant estimé de 50 millions d'euros auraient été détournés et placés sur un compte aux Iles Vierges Britanniques.
Le 20 novembre 2007, une opération de police judiciaire est déclenchée par les gendarmes à PARIS et dans les Alpes-Maritimes permettant l'interpellation de 11 personnes soupçonnées impliquées dans cette vaste escroquerie. Les perquisitions amènent la découverte des fichiers clients, de la comptabilité et des matrices d'actions sur des supports informatiques.
A l'issue des gardes à vue, une personne a été présentée au magistrat et placée sous contrôle judiciaire et quatre autres présentées du TGI de Grasse ont été placées sous mandat de dépôt.
Les enquêteurs estiment le préjudice à près de 50 millions d'euros et 600 victimes potentielles.
(1) Groupe mondial de places boursières
(B.R.) de NICE (Alpes-Maritimes) enquêtent sur des individus ayant proposé sur le marché libre Euronext (1) des actions fictives d'une société « ATI PETROLEUM ». Les titres, émis au début du mois de juillet 2007, laissent faussement espérer des gains rapides aux nouveaux actionnaires. Le 30 juillet 2007, la cotation est suspendue en raison d'un montage financier non conforme. Les fonds obtenus d'un montant estimé de 50 millions d'euros auraient été détournés et placés sur un compte aux Iles Vierges Britanniques.Le 20 novembre 2007, une opération de police judiciaire est déclenchée par les gendarmes à PARIS et dans les Alpes-Maritimes permettant l'interpellation de 11 personnes soupçonnées impliquées dans cette vaste escroquerie. Les perquisitions amènent la découverte des fichiers clients, de la comptabilité et des matrices d'actions sur des supports informatiques.
A l'issue des gardes à vue, une personne a été présentée au magistrat et placée sous contrôle judiciaire et quatre autres présentées du TGI de Grasse ont été placées sous mandat de dépôt.
Les enquêteurs estiment le préjudice à près de 50 millions d'euros et 600 victimes potentielles.
(1) Groupe mondial de places boursières
Source : Sirpa-gendarmerie in "GEND'Info".
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